Et voici un autre « compte-rendu », long…En deux partie.
Première partie Le café Muller
L’histoire débute par deux femmes l’une en blanc, contre une vitre, à gauche vers le fond, et l’autre traversant un café, semblant sortir par une porte qui tourne. Cette dernière porte un manteau bleu.
Une dame arrive portant une robe courte et blanche. Là commence la danse, les deux toute de blanc sont parallèles l’une à l’autre et parfois s’imitent.
Elles semblent désespéraient lorsqu’un homme vient. Là, court la seconde femme vers cet individu, ils s’enlacent. Un personnage vêtu de noir, s’élancent vers les chaises au devant des danseurs et les renversent. Les chaises évidement...
Pour la troisième fois un homme apparaît dans l’histoire, il s ‘efforce à ce que le couple s’embrasse, puis que le partenaire porte sa camarade. Mais n’y arrivant pas il s’enfuit…
Je pourrais raconter toute l’histoire en détail pendant un long moment. Mais il est plus intéressant, je pense, d’en donner mon interprétation et mes critiques.
L’histoire pourrait raconter une grande histoire, courante rassemblant un morceau de celle des différents individus. Ce serait une histoire d’amour, les dames blanches auraient leur cœur tourné vers un même homme. L’une serait déçue, détournant son regard du couple se réunissant. L’autre soulager, heureuse de revoir l’être aimé, le fait de se prendre dans les bras le montre. Finalement la malheureuse n’en devient qu’une observatrice parfois discrète, parfois faisant éclaté son désespoir.
Le personnage cherchant à ce que les amoureux s’embrassent, seraient une sorte de Cupidon… Et le baiser serait l’amour et le geste de porter serait la confiance, et lorsque la femme tombe désignerait le peu de solidité du couple. Prouvé, semble t’il, par le conjoint qui se laisse séduire par la dame au manteau, certes entreprenante et brusque. Surpris par sa compagne, il s’en suivra une dispute…
La mise en scène, très théâtral par son décor (chaises, portes et miroirs/fenêtres) et la distinction appuyé des différents personnages, est intéressante. Mais il est dommage, que l’on passe trop de temps à chercher le sens de ce que nous raconte ce début de spectacle.
La seconde partie est toute autre…
Seconde partie Le sacre du printemps
Cette fois ci on nous présente un sacrifice, une femme endormis et arrivent le reste d’une troupe féminine. Chacune se passeront une robe rouge, vite ne voulant garder ce symbole de mort.
Des Hommes arrivent, tel des ennemis en voulant aux femmes. On peut penser à une fuite et un combat. Pourtant il me paraît à un moment que ces deux clans ont leurs partenaires dans l’autre. Un homme meurt revient et attrape la sacrifiée avant de retomber au sol, mort.
A l’issue d’un ballet dynamique, régulier et en parfaite harmonie, ayant un coté sauvage, animal, on oublie la difficulté de la première partie et nous quittons un monde terne et lent, pour un univers coloré et vivant.
Ce spectacle fort intéressant force notre intention, et cela qu’en bien. Des étudiants tels que nous, ne peuvent qu’admirer ce travail qui n’ai sûrement pas une mince à faire. Chaque mouvement est gracieux, tout en gardant la dynamique de l’aspect particulier des partie.
Cette sortie m’a vraiment fait plaisir.
.: Cecile, Augustin, Emilie, Rosalie et Robin:. 
.: le groupe:.
