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  • : Le blog de l'Atelier Théâtre du Lycée Français International de Pékin
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25 septembre 2007 2 25 /09 /septembre /2007 14:25

Nos professeur de théâtre nous ont demandé de trouver un monologue à apprendre pour la sortie du 28 septembre. Cette sortie est un weekend reservé au groupe théâtre. Nous allons tous partir de vendredi soir à dimanche soir , dans un endroit pas loin de la muraille pour consolider le nouveau groupe et voir comment nous travaillons à l'extérieur du lycée et dans une période plus longue. Lorsque l'on m'a demandé de chercher un texte j'ai tout de suite penser aux oeuvres d'Eugène Ionesco. L'année dernière nous avions travailler sur La leçon et aux rencontres théâtrales la troupe de Sydney, les "Bread n' butter", nous ont présenté une piéce du même auteur qui m'a énormément plut. Du coup j'ai feuilleté La Cantatrice chauve et je suis tombé sur deux tirades et un poème que j'apprécisU beaucoup. Simples et compliqués à la fois, leur originalité m'a charmé. Alors voilà pour le plaisir de tout ceux qui ne connaissent pas encore Ionesco:

Mary: Elisabeth et Donald sont, maintenant, trop heureux pour pouvoir m'entendre. Je puis donc vous révéler un secret. Elisabeth n'est pas Elisabeth, Donald n'est pas Donald. En voici la preuve: l'enfant dont parle Donald n'est pas la fille d'Elisabeth, ce n'est pas la même personne. La fillette de Donald a un oeil blanc et un rouge tout comme la fillette d'Elisabeth. Mais tandis que l'enfant de Donald a l'oeil blanc à droite et l'oeil rouge à gauche, l'enfant d'Elisabeth, lui, a l'oeil rouge à droite et l'oeil blanc à gauche! Ainsi tout le système d'argumentation de Donald s'écroule en se heurtant à ce dernier obstacle qui anéantit toute sa théorie. Malgré les coïncidences extraordinaires qui semblent être les preuves définitives, Donald et Elisabeth n'étant pas les parents du même enfant ne sont pas Donald et Elisabeth. Il a beau croire qu'il est Donald, elle a beau se croire Elisabeth. Il a beau croire qu'elle est Elisabeth. Elle a beau croire qu'il est Donald: ils se trompent amèrement. Mais qui est le véritable Donald? Quelle est la véritable Elisabeth? Qui donc a intérêt à faire durer cette confusion? Je n'en sais rien. Ne tâchons pas de le savoir. Laissons les choses comme elles sont. (Elle fait quelques pas vers la porte, puis revient et s'adresse au public.) Mon vrai nom est Sherlock Holmes.

Le pompier: "Le Rhume": Mon beau-frère avait, du côté paternel, un cousin germain dont un oncle maternel avait un beau-père dont le grand-père paternel avait épousé en secondes noces une jeune indigène dont le frère avait rencontré, dans un de ses voyages, une fille dont il s'était épris et avec laquelle il eut un fils qui se maria avec une pharmacienne intrépide qui n'était autre que la nièce d'un quartier-maître inconnu de la Marine britannique et dont le père adoptif avait une tante parlant couramment l'espagnol et qui était, peut-être, une de ses petites-filles d'un ingénieur, mort jeune, petit-fils, lui-même d'un propriétaire de vignes dont on tirait un vin médiocre, mais qui avait un petit-cousin, casanier, adjudant, dont le fils avait épousé une bien jolie jeune femme, divorcée, dont le premier mari était le fils d'un sincère patriote qui avait su élever dans le desir de faire fortune une de ces filles qui put se marier avec un chasseur qui avait connu Rothschild et dont le frère, après avoir changé plusieurs fois de métier, se maria et eut une fille dont le bisaïeul, chétif, portait des lunettes que lui avait données un sien cousin, beau-frère d'un Portugais, fils naturel d'un meunier, pas trop pauvre, dont le frère de lait avait pris pour femme la fille d'un ancien médecin de campagne, lui-même frère de lait du fils d'un laitier, lui-même fils naturel d'un autre médecin de campagne, marié trois fois de suite dont la troisième femme...
M. Martin: J'ai connu cette troisième femme, si je ne me trompe. Elle mangeait du poulet dans un guêpier.
Le pompier: C'était pas la même.


Le Feu

Les polycandres brillaient dans les bois
Une pierre prit feu
La château prit feu
La forêt prit feu
Les hommes prirent feu
Les femmes prirent feu
Les oiseaux prirent feu
Les poissons prirent feu
L'eau prit feu
Le ciel prit feu
La cendre prit feu
La fumée prit feu
Le feu prit feu
Tout prit feu
Prit feu, prit feu

Ps : Ne serais tu pas un peu égocentrique mon Gugus ! Non, sérieusement, j’aime beaucoup le fait que tu parles de toi à la troisième personne dans ton article sur le spectacle de Pina Bausch, ça change ! Par contre es tu sûr que tu étais tout émoustillé à cause de la horde de danseuses ?! Mais…tu dis vrai…la musique était superbe !



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25 septembre 2007 2 25 /09 /septembre /2007 14:22

Ce vendredi ils assistent à un spectacle de danse moderne.

L’ensemble dure 1H30 mais il s’agit en vérité de deux représentations, deux histoires différentes mises en scène et composées respectivement par Pina Bausch et Igor Stravinsky.

 

Augustin arrive donc dans la salle. Il voit directement la scène, le rideau n’étant pas tiré. Sur celle-ci, des dizaines de chaises et tables installées et une lumière relativement tamisée. Augustin le confesse, il appréhende beaucoup ce spectacle, n’étant pas un fan de danse.

Quelques mintutes plus tard, Augustin est soudainement envahit par une musique d’opéra (il aime beaucoup l’opera). Il voit apparaître une femme, puis deux, et un homme, puis deux. La scène est étrange, on dirait qu’un des hommes est en admiration devant une des femmes. Celle-ci danse, virevolte et Augustin parierait qu’elle veut s’envoler.

Elle est gênée par les meubles, me direz vous. Non, car l’autre homme la protège (exercice familier qui rappelle à Augustin la pratique effectuée quelques heures plus tôt avec les professeurs). Il fantasme mais ne cherche rien ; il ouvre le passage en enlevant les tables et chaises qui sont devant le chemin de celle qu’il désire.

Augustin conclut à la fin de cette première partie qu’il vient d’assister à un spectacle de danse racontant un amour impossible, une jalousie secrète, trop timide pour être développée.

 

Après l’entracte, Augustin retourne à sa place. Quelle est donc sa surprise ! Le décor a totallement changé. Il apperçoit une étendue de sable rouge sur la scène (c’est étrange).

Tout à coup, une horde de danseuses, toutes de blanc vêtues, vient transcender la scène.

Augustin est tout émoustillé. Il n’est plus devant une scène de théatre mais devant une peinture vivante, un film aux multilples couleurs. Il est éblouit. Les femmes dansent, puis la horde se retire, laissant place aux hommes. Augustin préfère les femmes mais le spectacle reste magnifique. La musique, la lumière dégagent une chaleur qui envoute Augustin.

Il ne comprends que vaguement l’histoire : un sacrifice peut être ; une femme doit être sacrifiée et on prépare ce sacrifice.

Mais est-ce bien important ?

A la fin du spectacle, Augustin retient surtout que les couleurs, les sons sont parfois bien plus touchant et profonds que les mots.

 

Augustin Radot

 

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24 septembre 2007 1 24 /09 /septembre /2007 13:19

le spectacle de Pina Baush met en scene non seulement une danse mais aussi du theatre. Il s'est deroule en deux partie, une premiere partie se deroulait dans un restaurant ou etait place de nombreuses chaises et tables et une deuxieme sur une scene recouverte de sable.
Dans la premiere partie deux femmes vetues de robes simples blanches ouvrent le spectacle, elles dansent tout d'abord pres de deux grandes vitres qui se trouvaient a chaque extremite de la scene, ensuite une des femmes se deplace a travers la piece comme si elle etait aveugle elle rentre dans toutes les tables au rythme de la musique qui donnait une ambiance sinistre. Ainsi rentre en scene plusieurs personnages dont un, qui deplacait les tables et chaises afin que la danseuse aveuglee ne rentre pas dedans. j'ai remarque que des que la musique s'arretait les gens ne bougeaient plus et un des hommes etait alonge par terre et une des femmes etait nue sur un table. Ainsi pour moi cette scene etait l'histoire d'une scene de meurtre et de trahison amoureuse, des que la musique s'arretait on nous montrait l'image final: le desastre. la mise en scene de cette piece donnait un sentiment lugubre, sombre, morose et triste. le theatre dans cet danse est exprime avec le corps, la forte respiration des acteurs, et les deplacements. C'est donc un theatre muet mais tout autant explicite, aisni cela nous a donne une idee du theatre sans texte qui permet aux spectateurs de creer leur propre histoire car j'ai remarque que je n'avait pas la meme explication de cette scene que d'autre personnes.
Dans la deuxieme partie de ce spectacle les danseurs ou acteurs sont separes entre hommes et femmes. Au debut une femme eclairee d'une lumiere chaude est alongee seule sur le sable sur un tissu rose. Ensuite plusieurs femmes arrivent et la panique commence car les hommes arrivent et chamboulent leur tranquilite. De la je pense que cette piece etait un affrontement hommes, femmes afin de savoir qui obtiendra la liberte. cette partie etait tres troublante car les dansent entre hommes et femmes etait assez violentes et osees. Les femmes etaient presentees comme des etres purs car leurs costhumes etaient si fins qu'on aurrait dit qu'elles etaient nues. Les hommes aussi eux etait vetus simplement d'un pantalon ce qui montrait le cote un peut sauvage, affrontement de la piece. A la fin les hommes piquent le tissu rose representant la paix et les femmes s'en vont: elles ont echouees.
Pour conclure ce spectacle a la foi insense et explicite:( insense car faut-il vraiment tirer une histoire de la premiere partie? et explicite car justement le probleme de langage n'existait pas c'etait le corps qui parlait et permettait tout aussi bien de comprendre), nous a donne une image une foi de plus differente du theatre. Le theatre cela peut etre tout et rien c'est seulement un moyens de partager quelque chose, un message et de creer une relation avec chaque acteur et spectateur.    

Melissa CARON

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24 septembre 2007 1 24 /09 /septembre /2007 13:16
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24 septembre 2007 1 24 /09 /septembre /2007 01:26
Donc comme on peut le voir, y'a deja tout le monde qui a deja fait une bonne analyse du spectacle! Mais bon faut aussi que je m'y mette^^. Sauf que je vais essayer de pas trop repeter ce qui a deja ete dit!
Alors, d'abord nous avons vu une premiere partie qui etait L'Adoration De La Terre. Je pense que personne ne s'etait atendu a ce genre de spectacle, en tout cas, pas moi! Deux femme qui sont sur la scene tout en blanc, dans un cafe passant inapercue aux yeux d'une femme qui passe en coup de vent, peut-etre est-elle venue chercher quelque chose. Puis les femmes se mettent a danser vaguement, a faire des gestes, mais revienne toujours au point de depart: une grande glace transparente. Cependant une des deux femme passe totalement inapercue: elle sera la tout au long de la scene cependant, personne ne fera jamais attention a elle, tandis que l'autre lorsqu'elle dansent(mais elle a l'air en grande peine enfait) dans le cafe, pour pas qu'elle se fasse mal en se prenant les tables et les chaises un homme arrive et ecarte tout ce qu'il se trouve sur son passage. Il faut preciser que ce spectacle est base sur la repetition, donc un meme mouvement, une meme action peut-etre repetee 10 fois! Apres, on notera l'appariton d'autres personnages : un homme, qui est comme la femme qui "dansent" dans le cafe, qui a l'air un peu fou d'ailleurs, tombera amoureux d'elle. Ensuite un 3eme homme qui separe la femme et l'homme. Cependant, tout est fait par geste saccade: si les deux personne s'enlace, et que le 3eme homme les separe, pour cela il va lui-meme enlever le bras de la fille qui est autour du coup de l'homme et ces derniers vont attendre qu'il ait finit pour se reenlacer.(bien sur...tout en repetition!) Puis une derniere femme: celle du debut qui fait des apparitions a courire un peu partout. Cependant a un moment elle fait des mouvements repetes que je trouve d'ailleurs gracieux mais en meme temps c'est un peu patau! 
Et la scene se clou sur 10minutes de repetitions. 
Bon faut quand meme avouer que ce spectacle etait tres sympa, et que meme si des fois les repetitions etaient TRES TRES lourde, des fois, c'etaient la base de l'humour et faut dire aussi que ca a du etre tres tres dur de devoir preparer ce spectacle, de pouvoir maitriser tout ces mouvements et que lorsque l'homme qui essayait d'enlever les chaises pour pas que la femme un peu folle tombe, il aurait pu tomber en se prenant une chaise. Ca aurait ete tres facile!

Maintenant, la deuxieme partie. Bon la je crois que ca va se sentir: j'ai adore! Il y avait dans ce spectacle une synchronisation extraordinaire, de la simplicite, et un retour au cote animal de l'homme car il suaient tous, leurs costume etaient le plus leger possible etc...
Donc en fait tout se base autour d'un tissu rouge(une sorte de robe) et au debut, il y a seulement les femmes sur scene. Puis quand les hommes arrivent, c'est franchement la panique. Puis la moitie du temps, ils dansent tous ensemble(exemple: lorsqu'ils forment tous un enorme rond ) et on peut dire d'ailleurs que leurs mouvements sont vraiment controles, ils expriment la grace mais en meme temps, la "bestiausite" (c'est assez paradoxale je sais lol). Et donc d'autres fois, ils se refugiaient en deux clans(homme et femme) et on voyait sur leurs visages la peur qu'eprouver les femmes envers les hommes.
Puis vers la fin, ce sont les femmes qui ont recupere la robe rouge, et elles veuelnt l'offrir aux hommes cependant elles en ont tres peur donc c'etait assez amusant car une essayait, elle le montrait a l'homme, puis tellement elle avait peur, elle retournait dans son clan et le refilait a quelqu'un dautre!
A la fin, une des filles porte la robe e dance un beau solo au milieu de tous. 
Un spectacle a voir vraiment magnifique!!!

Bon bah j'espere ne pas avoir fait trop de repetitions^^ Gros bxz!
Clem-Clem (clementine lol)

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Allez, une 'tite photo juste pour faire plaisir:)
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23 septembre 2007 7 23 /09 /septembre /2007 05:30

Le vendredi 21 septembre nous sommes allés voir un spectacle de Pina Bausch dans un grand théâtre. La salle était remplie et la scène déjà prête. Sur la scène nous pouvions voir de petites tables rondes avec environ quatre chaises autour de chacunes. Autour des tables et chaises il y avait des murs transparents pour délimiter et l'espace et dan le fond il y avait un tambour pour montrer où se situait l'entrée/sortie de la pièce, qui pour moi, était un café.  
Tout d'un coup la lumière se baisse et le spectacle commence. Deux femmes habillées en blanc marchent/dansent sur la scène. Elles avaient les bras tendus comme deux zombies et un visage sans aucune expressions particulières. Puis un homme rentre en scène, suivit d'un second et à partir de ce moment là on comprend que cette scène ne se passe pas dans le présent mais on dirait qu'elle est le reflet de ce qu'il c'est déjà passé dans la journée ou dans les jours précédents. Lorsque la musique joue on voit toujours la même scène mais avec des éléments qui se rajoutent, lorsque la musique s'éteint plusieurs personnages sont étendus par terre, d'autres sont sur le côté entrain de danser. On pourrait penser qu'une scène de meurtre est entrain de se refaire. Un meurtre basé sur la jalousie homme/femme, une trahison entre un couple. Une femme aurait-elle trompé son mari avec le second homme? C'est la question que je me pose encore aujourd'hui. Dans ce spectacle c'est au spectateur de comprendre ou d'inventer le message transmis par les danses et le decors. Il y a un jeu entre les danseurs et cela nous fais perçevoir certains sentiments qui nous font comprendre le sentiment dominant qu'à voulue nous transmettre Pina Bausch.
Après l'entracte le décors avait changé pour cette deuxième aprtie du spectacle. Il n'y avait rien sur scène apart un carré de sable maron par terre (il prenait tout l'espace).Au départ une femme habille d'une robe très claire, couleur peau, est étendue sur une serviette rose fushia (la couleur est importante car c'est la seule qui ressort pendant toute la danse). Peu à peu d'autres femmes rentrent en scène en dansant. Elles se croisent, se groupent, s'éparpillent,...La femme qui était couchée est maintenant debout et danse avec les autres. C'est au tour des hommes de rentrer et de danser. Peu à peu un duel se crée entre les deux groupes (hommes/femmes). Les deux groupes se confrontent, se melangent, il y a un jeu de haine, puis d'adoration, de crainte, puis de curiosité. Un homme et une femme se séparent du groupe et sont au centre de l'attention. Pendant que les autres sont entrain de continuer leur jeu de duel en groupe, le couple est en duel lui aussi, mais un duel plus puissant, plus dur, avec des gestes plus brutaux.La femme est très importante car maintenant elle a pris la couleur rose vive de la serviette, qui a maintenant disparu. La scène se termine comme ça, un duel homme/femme, avec un couple plus important au milieu. La danseuse en rose apportait une forte émotion à travers ses gestes. Leurs gestes étaient brutaux et sexuels...car il est vraie qu'avant d'être en harmonie hommes et femmes étaient en duel et c'était un jeu assez fort pour arriver jusqu'à la reproduction.
Pour conclure, j'ai beaucoup aimé ce spectacle. Par contre il ne faut pas aller le voir si l'on s'attend à écouter une histoire sans réfléchir, car mon bilan c'est mon point de vue, mais chacun a vue des histoires différentes à travers les danses mise en scène par Pina Bausch. Ce spectacle demande beaucoup de réflection mais je vous conseille d'aller le voir car c'est une expérience unique et différente de tout ce qu'avait pu voir auparavant!

Emilie Mocellin


 

 

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22 septembre 2007 6 22 /09 /septembre /2007 13:13
  Je trouve, personnellement, que ce systeme de publier le compte rendu de chacun sur ce blog a chaque fois fait assez lourd pour les lecteurs, mais bon.... 
  
  Donc comme vous vous y attendez, le sujet de mon article est la sortie d'hier, Vendredi 21 Septembre, le spectacle de Pina Bausch. Je me passe de présenter exactement la nature de ce dernier, étant donné que ca a déja été fait par Cécile, Tatiana et Laura. Toutes mes impressions ont en partie été dites : j'ai trouvé la 1ere partie tres longue et trop répétitive, avec de plus une histoire (s'il y en a une) difficile a comprendre (en tout cas personnellement j'ai pas compris grand-chose...), tandis que j'ai beaucoup aimé la seconde partie du spectacle. Ce qui m'a le plus fasciné a été la coordination des danseurs, la facon dont ils formaient tous ensemble un tout. L'art de la danse nous a fait ressentir des émotions (ceux qu'on a cité lors de notre heure de pratique ce vendredi meme : peur, angoisse, suspense, agressivité, etc.) et la chorégraphie correspondait merveilleusement a l'histoire, cette fois-ci, comprise par tous. Le décor (un lit de sable ou de terre) était simple, original, et bien pensé. A propos du décor, j'ai apprécié aussi un élément de celui de la 1ere partie : les miroirs teintés placés tout autour de la scene. Cette idée m'a beaucoup plu car on voyait en meme temps le reflet de celui-ci, donc ce qui se passait devant ce miroir, et les mouvements des danseurs qui se trouvaient derriere, ce qui donnait un résultat assez étrange mais superbement réussi.

  Au total, une premiere sortie réussie, meme si l'entracte a été l'objet d'un soulagement général, car la seconde partie a vraiment sauvé le spectacle et surpris et fasciné, je pense, toute la troupe du Lfip. En attendant impatiemment la prochaine sortie....

Daii-li (ponctuelle --> Allie, Ludo et Lanh si vous passez par la :P)

P.S. : Au passage, je voudrais dire aux filles qui ont déja écrit sur la sortie que j'ai beaucoup aimé leurs articles : l'analyse de Cécile, la bonne idée de Tatiana de mettre un extrait de la choré et la sincérité et la joie (d'ou sa qualité d'ailleurs) débordant du commentaire a Laura.

Bisous.
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22 septembre 2007 6 22 /09 /septembre /2007 08:40
Vendredi 21 septembre, nous avons eu le plaisir d'assister au spectacle d'une des plus grandes chorégraphe contemporaine, Pina Bausch, qui a mis en scène un  spectacle appelé "Le Sacre Du Printemps" (voir extrait sur l'article de Tatiana). C'est un ballet en deux parties, "L'Adoration de la Terre" (partie 1) et "Le Sacrifice" (partie 2), sur une musique de Igor Stravinsky, un compositeur et chef d'orchestre russe.

La première partie était (soyons francs!) pas la meilleure. Bien sûr, il faut s'avouer aussi que notre capacité à aimer des choses nouvelles à notre âge n'est pas au top niveau non plus (!!!). Malgré un décor très original, très avant-gardiste et une musique très belle, j'ai eu beaucoup de mal à m'accrocher à cette première partie. La répétition de certains mouvements, et les moments sont musique, ont "alourdi" le spectacle. Pendant des minutes il ne se passait rien alors on n'est pas très interessés disons... De plus, comme il est difficile de s'y interesser, on ne comprend pas vraiment l'histoire (reste à définir s'il y en a une...). Ne pas comprendre le but de quelque chose reste, à notre âge, très frustrant. Alors je suis sortie de cette première partie très déçue de ne pas comprendre, de ne pas avoir trouvé un but à mon spectacle. Certes on ne peux qu'admirer la chorégraphie (ainsi que la beauté des mouvements de Pina Bausch, elle-même sur scène!) mais une heure de mouvements dont on ne comprends pas le sens, c'est un peu long, non?

Quant à la deuxième partie, alors là moment de magie, rien à redire. "Une fille est choisie pour être sacrifée à la terre.Les ancêtres contemplent le sacrifice. Garçons et filles de la tribu se déchaînent autour de l'élue qui meurt à l'issue d'une danse frénétique." (cf résumé de Mr Dubreuil himself^^). Une coordination exceptionnelle, un musique à couper le souffle et des danseurs d'un talent inouï! Cette 2ème partie fut un plaisir pour les yeux et les oreilles. L'histoire était évidente ici. La chorégraphe a, en fin de compte, chorégraphié une histoire, une scène. En effet, il n'y a aucune parole mais la musique et la danse suffisent à comprendre ce qu'il se passe, les sentiments des personnages et le rôle de chacun dans l'histoire.

Ce fut un moment magique, je suis ressortie de ce spectacle toute à fait heureuse d'avoir découvert un art que je ne connais pas tellement, d'avoir eu la chance de voir un spectacle aussi beau..
Ces sorties théâtre sont décidement un vrai plaisir!

A bientôt sur notre petit blog qui, je constate, commence à prendre un peu de vie, non?

Laura...JOYEUSE!



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22 septembre 2007 6 22 /09 /septembre /2007 07:03

 

 Le sacre du

Aujourdui le 21 septembre, Notre séance de théâtre a été un peu plus courte que d’habitude car nous avons du partir a 18h pour nous rendre a un spectacle de danse contemporaine de la célèbre chorégraphe allemande Pina Bausch.

Même si je l’avoue, la danse contemporaine n’est pas vraiment ma tasse de thé j’ai beaucoup apprécié ce spectacle.

Le décor était composé de chaises et de tables dispersés un peu partout sur la scène, et de miroirs sur les cotés. Je ne sais pas vraiment ou se passait la scene, peut être dans un bar, ou un restaurant ou encore un hall…

La première partie mettait en scène 5 personnages, dont trois femmes et deux hommes. Deux femmes en robe couleur chair se battait pour le même homme (enfin selon mon interprétation !) et l’une des deux la eu, La seconde restait toujours en retrait, très souvent vers le fond de la salle. Presque en tant que spectatrice de l’amour des deux autres,

Une troisième femme arrive, contrairement aux deux autres, elle, est habillée avec une robe bleue et des chaussures rouges. Pour bien faire une distinction entre toutes ces femmes.

L’homme n’est pas insensible à son charme et va vite tromper son amie. Pour finir par s’en vouloir profondément par la suite.

Cependant le couple finit ensemble.

 

La musique de cette première partie était très prenante, je l’ai beaucoup aime, cependant j’ai trouve le rythme des personnages un peu lent même si j’ai trouve la répétition des gestes et la mise en scène très intéressante.

L’histoire (d’ailleurs en avait-il vraiment une ???) était assez compliquée à comprendre (d’ailleurs Emmanuelle a du m’expliquer la moitié du spectacle ^^)

La femme principale, donc celle qui est avec l’homme, se heurtait toujours aux chaises et aux miroirs qui faisaient le decors, jusqu’à ce qu’un homme lui fasse éviter tout objet se trouvant sur son chemin pour qu’elle rejoigne indemne son fiancé. Ce second homme faisait de même avec le fiancé. On peut donc dire qu’il jouait un rôle d’entremetteur entre les deux personnages/danseurs.

 

La seconde partie était plus vivante. La scène était recouverte de terre ou les danseurs et danseuses évoluaient. Cette scène représentait un rituel, ou les femmes devaient sacrifier une des leurs pour les hommes. C’était une sorte de scène d’attaque défense entre les hommes et les femmes, le tout sur une musique faisant penser a la guerre (Durant notre séance, nous avons d’ailleurs travaillé sur cette musique et avons bien compris que cette musique représentait un univers guerrier, angoissant…)

Les costumes donnaient à la scène un effet de simplicité qui la rendait encore plus belle : les hommes étaient torses nus avec un pantalon noir et les femmes en robe couleur chair, le seul élément de couleur différente était une foulard rouge, que les hommes et les femmes se passait et qui était le signe de l’amour, mais en même temps du sang et du sacrilège

 

Ce spectacle m’a beaucoup plus meme si je m’attendais à davantage de danse,mais comme je l’ai compris en lisant la fiche que nous a distribué monsieur Dubreuil,Pina Bausch a mit en place la TanzTheater qui mettait en avant le Theatre plutôt que la danse.

 

En tout cas c’était une très bonne soirée !

Gros bisous a tous !

Tatiana.

 

 

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22 septembre 2007 6 22 /09 /septembre /2007 06:45

En attendant de finir mon petit rapport sur le spectacle d’hier je voulais juste mettre un petit mot ( puisque je ne l’ai pas encore fait) pour vous dire a' tous que je suis vraiment trop tcontente de recommencer ( ou de commencer pour certains) cette année avec vous et que déjà avec ces deux premières séances je me sens vachement plus a' l’aise par rapport a' l’année dernière (peut-être qu’un jour je ne serais plus timide du tout ^^ hehe ) .Je suis sure qu’ on va passer des super moments ensemble et j’ai déjà trop hâte  d’être au week-end prochain pour notre petit voyage!!!!!
Une dernière an
née qui va tous nous marquer !!!

 Vive le théâtre et vive nous ( Beijing pingouins !!!)

 Un Gros bisous a’ tous  et a lundi*

Ludo (responsable)

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